C'est le monde à l'envers : l'expulsée qui gagne plus que l'expulseuse, et l'expulseuse qui pleure pendant l'expulsion. Oui, mais ce n'est pas si simple : si l'expulsée est quand même surendettée, l'expulseuse n'a plus de sous et doit vivre chez sa mère… Tout ça sur fond de porcherie, de maire, de gendarmes et d'huissier de justice…