« Je n'ai aucune ambition politique, je veux dire, je suis un humoriste, mais la politique c'est la vie dans la cité, n'est-ce pas, donc ça me regarde ! ». Celui qui utilisait l'humour pour résister, est mort. En 1976, Guy Bedos se heurte, sur le plateau d'Apostrophe, aux hommes politiques écrivains. Les mots (maux ?) du peuple se font entendre autant qu'ils se lisent.