Les chevaliers sont bien installés dans leurs rôles, le gouvernement est en place et stable, le royaume est régulièrement sous la menace d’incursions barbares mais l’unification des clans permet à l’armée de repousser les tentatives les unes après les autres. Le roi Arthur fait du mieux qu’il peut pour composer avec l’équipe disparate et passablement incompétente qui est supposée le seconder dans sa tâche ; les quêtes s’accomplissent avec plus ou moins de succès. Mais les prémices d’éléments dévastateurs font leur apparition : les relations se dégradent quelque peu entre le roi et son fidèle second, Lancelot, et la vie amoureuse du roi Arthur, peu flamboyante, ne l’aide pas à surmonter son désespoir chronique.