Il y a des disparitions qui restent longtemps sans suite. D’autres qui inquiètent rapidement les policiers. Celle des Véran-Raspini est de celles-là. Peut-être à cause du chat affamé qui miaulait désespérément dans leur grande bâtisse de la colline de Gairaut, sur les hauteurs de Nice. Plus sûrement, parce que Francine Raspini et son fils ne seraient jamais partis la semaine, où ils percevaient les loyers de leurs locataires…